Après ce long voyage, nous atteignons enfin notre
destination de vacances.
Notre hôtel est composé de huttes au bord de la mer, tout au
bout du petit village de Kizimkazi. Les autres hôtels de la région semblent
avoir souffert de la crise sanitaire… ils sont tous déserts. Le propriétaire de
notre Lodge explique qu’ils recommencent à avoir du monde seulement depuis
décembre. Lors de notre séjour, nous constatons que le Lodge est rempli en permanence !
Des touristes français mais aussi des expatriés de Dubaï, du Quatar, des
russes… Nous sommes contents pour lui que ses affaires reprennent. L’ambiance
au Lodge est détendue et familiale. Les enfants se font de nombreux copains.
Tout est prévu pour le repos, la détente et les jeux des enfants.



Au programme de ces vacances : lecture, siestes, repas, piscine,
promenades. Nous refusons tout net toutes les excursions
proposées : nous adorerions voir les dauphins qui vivent au large mais les
20 bateaux remplis de dizaines de touristes passant devant notre hôtel tous les
matins nous dissuadent. Pauvres dauphins, quel harcèlement touristique ils
subissent ! Même chose pour le snorkeling sur le banc de sable entouré
d’un récif de corail : si c’est pour nous cogner à des dizaines de
touristes et observer la mort lente des coraux qui supportent mal cet
envahissement, non merci ! Nous discutons et prenons ces décisions en famille : les enfants
comprennent que le respect de la nature prime sur notre plaisir personnel. Le 25 décembre, nous passons la journée sur la plage de
Paje, à l’est de l’île. Des grosses vagues, des vendeurs de « bijoux
Masaï » (à voir…), plein de touristes, des restaurants variés, des
possibilités de se faire tatouer au henné… Un gros changement d’ambiance !
1 commentaire:
Belle semaine de repos dans un cadre enchanteur !
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